Une fois par an les femmes portaient des jupes courtes et se mettaient pieds-nus. Elles portaient des fleurs sur la tête... La rivière montait et les gens s'enivraient.
à cette même époque apparaissait un poisson, il s'appelait le Mapalé.
Je suis allé sur votre blog, impressionnant, on voit onduler les corps des danseuses de mapalé et leurs cris sont évocateurs et contagieux… Un abrazo, Alberto C.
Merci, Marie, pour ce voyage immobile et permanent au coeur du mouvement de la vie, au coeur de la difficulté d'être, au coeur de la dignité ! Une Lumière dans notre obscurité quotidienne ! Amitié Gilles
4 commentaires:
Unos dibujos con la frescura y soltura habitual. Me encantan.
Saludos
Je suis allé sur votre blog, impressionnant, on voit onduler les corps des danseuses de mapalé et leurs cris sont évocateurs et contagieux…
Un abrazo,
Alberto C.
J'adore toujours tes danseuses.
On se croirait à Cartagena avec la musique, l'ambiance et Marie sur son banc dessinant et créant un attroupement.
Merci, Marie, pour ce voyage immobile et permanent au coeur du mouvement de la vie, au coeur de la difficulté d'être, au coeur de la dignité !
Une Lumière dans notre obscurité quotidienne !
Amitié
Gilles
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