Un temps meilleur, jamais connu.





































































Je suis restée perplexe par la résignation des plus démunis à surmonter leur quotidien.
Dans ce bidonville, le « quartier du sable », nombreux sont ceux qui ont dû, ou doivent reconstruire toute leur vie sur des dettes. Ce sont les « déplacés » de la violence, des familles frappées par un accident, une maladie ou par la malchance.
On y joue à la politique comme on croit en la loterie, on y pleure tout ce qu’on boit et on essaie d’oublier ses sacrifices. On dirait que le vallenato permet de supporter la dramatique réalité. Cette musique tisse les clichés en refrain, grésille partout et propage la philosophie bon marché.
Pour éponger ses dettes, on peut faire soldat, ils sont pas tous pourris après tout...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Grande émotion pour nous.
Ce bébé a les plus beaux yeux du monde... Pourvu qu'il prenne bien son
biberon maintenant!
On va être très fier de le promener partout
Béa c'est super, bravo aux Ornicarinks et un immense merci à tous
Bises
Nicole